Prison Break
Ou comment réparer une injustice !
Tout commença par une belle matinée sombre, comme il n'en existe qu'à Brâkmar. La lave éclairait les rues, les Srams pillaient les passants. Rien de bien extraordinaire. Je me promenais tranquillement, quand, passant à coté de deux miliciens, je fut interpellé par l'énorme coffre qu'ils gardaient derrière eux. Bien décider à m'en emparer, je me dirigeais vers la Taverne la plus proche afin d'acheter de quoi rendre les deux larrons incapables de me refuser quoique ce soit.
Quelques heures et quelques bières plus tard, le succès était au rendez-vous. Le coffre était à moi ... Et les ennuis aussi d'ailleurs. Au moment où je m’apprêtais à l'ouvrir, j'entendis la voix d'Oto Mustam qui ordonnait que l'on m’attrape. Un violent coup à la tête me fit perdre connaissance.
Quelque heures plus tard, je revins à moi. Je devais me rendre à l'évidence : j'étais en prison ...
Ma cellule ne comportait quasiment rien : un tas de patates, de quoi les éplucher et un "squelette d'humanoïde poignardé". Pas de quoi casser cet énorme cadenas. Je réfléchissais alors au moyen le plus simple de m'échapper, sans pour autant devoir éplucher la montagne de Patates qui se trouvait à mes cotés ...
Je fouillais mon sac quand une fiole d'huile de Mamansot vint heurter mes doigts. Tout alla alors très vite ! Je répandis l'huile dans la cellule, avant d'imiter le cri de la Mamansot en détresse. Le résultat ne se fit pas attendre. Bravant la distance et la chaleur, un Timansot arriva.
Jouant sur sa stupidité et son envie de Poisskaille, je réussi très facilement à lui faire attraper les clés, et à le faire revenir. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver la bonne clé, et ouvrir le vieux cadenas rouillé.
Une fois dehors, il n'y avait plus qu'à remercier le Timansot pour son aimable coopération, et lui faire comprendre qu'il n'y avait aucune Mamansot dans les parages !
A bientôt pour d'autres conseils évasion !